Posté : 21 janv. 2009, 19:09
4 janvier 2009
Debout à 7h00.
La sonnerie du réveil devient synonyme de lever matinal et commence à nous crisper.
Véronique essaye d'en changer, histoire de décrocher de ce réflexe Pavlovien contrariant…
Ce matin nous avons droit à un petit déjeuner très agréable à l'occidentale.
Café avec croissant, pain au chocolat, pain aux raisins, confitures, corn-flakes pour les amateurs et encore ici les mêmes crêpes tant appréciées la veille.
Nous profitons agréablement de cet instant au chaud ; on apprécie d'autant plus le confort après en avoir manqué un peu, mais c'est tout de même bon pour relativiser.
Nous avons appris hier que Jade, son papa et Maximilien ont pu échanger la voiture de location, nous sommes heureux de les savoir sortis de leurs soucis.
Avant de prendre la route, je me presse tout de même car il est grand temps que je corrige le parallélisme de la voiture.
L'attaque d'hier sur les lacets de montage à usé les pneus avant jusqu'au témoin.
Je remplace les roues par celles que j'ai emporté.
- Je les remplacerais le soir même par celles de Nicolas car elles ont un défaut d'équilibrage malgré leur bon état général -.
Nicolas m'aide ensuite à faire la mesure pour le réglage, le tout est réglé en 15 minutes.
Il y avait urgence vu le rattrapage nécessaire.
Ce soir nous serons à Essaouira, mais d'abord nous rejoignons la dernière piste pour l'ultime épreuve.
L'aventure touche à sa fin, nous sommes décidés à profiter au maximum aujourd'hui.
La liaison se fait par le bord de mer aux paysages grandioses.

quelques kilomètres après le début de la route arrêt imprévu !
Pas au panneau, mais un peu plus loin…
(Remarquez le design du panneau stop, assez inhabituel pour des européens)

L'équipage numéro 3 se mets à ma hauteur et me fait signe qu'il y a un problème avec la roue avant gauche.
J'ai bien serré les roues mais me rends immédiatement compte que ce sont les écrous de cardan qui ne sont pas assez serrés.
Cette ultime conséquence du changement de moteur aurait pu mal finir, mais il n'en sera rien.
Je comprends mieux l'usure prématurée des pneus, nous reprenons la route très vite.

Ici, il n'est pas rare de croiser chèvres, ânes et même dromadaires au bord du chemin…


La piste assez caillouteuse et pleine de nids de poule qu'il faudra négocier.









à l'issue ce cette étape qui nous en a mis plein la vue, nous suivons les conseils de pause repas donnés le matin même au briefing et faisons pour le coup une pause soleil très agréable.
Nous avons des nouvelles de la météo normande, il a fait –16 ° cette nuit !, nous sommes bien ici, en bord de plage sous une paillote à proximité d'Essaouira

Nous rejoindrons Essaouira tout à l'heure, ferons un rapide tour dans le souk après avoir rejoint l'hôtel Ibis (le plus agréable de notre périple) et pris une bonne douche.

l'hôtel Ibis
Peu de temps avant de rejoindre à 20h00 la salle commune Dar Souiri et participer à la soirée de clôture avec remise des prix.
Résultats inattendus : nous sommes classés et 46èmes sur 57 au général de l'aventure.
Pas si mal alors que les embûches ne nous ont même pas disqualifiés (une dizaine d'équipages n'ont pas eu cette chance…)
Le défilé des équipages s'éternise.
Nous rejoindrons l'hôtel vers minuit et déciderons de privilégier notre sommeil en ne rejoignant le bateau qu'après demain matin au lieu de demain vers 19h00 vu le temps de route nécessaire pour rejoindre Tanger.
Le réveil sonnera bien assez tôt.
Debout à 7h00.
La sonnerie du réveil devient synonyme de lever matinal et commence à nous crisper.
Véronique essaye d'en changer, histoire de décrocher de ce réflexe Pavlovien contrariant…
Ce matin nous avons droit à un petit déjeuner très agréable à l'occidentale.
Café avec croissant, pain au chocolat, pain aux raisins, confitures, corn-flakes pour les amateurs et encore ici les mêmes crêpes tant appréciées la veille.
Nous profitons agréablement de cet instant au chaud ; on apprécie d'autant plus le confort après en avoir manqué un peu, mais c'est tout de même bon pour relativiser.
Nous avons appris hier que Jade, son papa et Maximilien ont pu échanger la voiture de location, nous sommes heureux de les savoir sortis de leurs soucis.
Avant de prendre la route, je me presse tout de même car il est grand temps que je corrige le parallélisme de la voiture.
L'attaque d'hier sur les lacets de montage à usé les pneus avant jusqu'au témoin.
Je remplace les roues par celles que j'ai emporté.
- Je les remplacerais le soir même par celles de Nicolas car elles ont un défaut d'équilibrage malgré leur bon état général -.
Nicolas m'aide ensuite à faire la mesure pour le réglage, le tout est réglé en 15 minutes.
Il y avait urgence vu le rattrapage nécessaire.
Ce soir nous serons à Essaouira, mais d'abord nous rejoignons la dernière piste pour l'ultime épreuve.
L'aventure touche à sa fin, nous sommes décidés à profiter au maximum aujourd'hui.
La liaison se fait par le bord de mer aux paysages grandioses.

quelques kilomètres après le début de la route arrêt imprévu !
Pas au panneau, mais un peu plus loin…
(Remarquez le design du panneau stop, assez inhabituel pour des européens)

L'équipage numéro 3 se mets à ma hauteur et me fait signe qu'il y a un problème avec la roue avant gauche.
J'ai bien serré les roues mais me rends immédiatement compte que ce sont les écrous de cardan qui ne sont pas assez serrés.
Cette ultime conséquence du changement de moteur aurait pu mal finir, mais il n'en sera rien.
Je comprends mieux l'usure prématurée des pneus, nous reprenons la route très vite.


Ici, il n'est pas rare de croiser chèvres, ânes et même dromadaires au bord du chemin…


La piste assez caillouteuse et pleine de nids de poule qu'il faudra négocier.









à l'issue ce cette étape qui nous en a mis plein la vue, nous suivons les conseils de pause repas donnés le matin même au briefing et faisons pour le coup une pause soleil très agréable.
Nous avons des nouvelles de la météo normande, il a fait –16 ° cette nuit !, nous sommes bien ici, en bord de plage sous une paillote à proximité d'Essaouira

Nous rejoindrons Essaouira tout à l'heure, ferons un rapide tour dans le souk après avoir rejoint l'hôtel Ibis (le plus agréable de notre périple) et pris une bonne douche.

l'hôtel Ibis
Peu de temps avant de rejoindre à 20h00 la salle commune Dar Souiri et participer à la soirée de clôture avec remise des prix.
Résultats inattendus : nous sommes classés et 46èmes sur 57 au général de l'aventure.
Pas si mal alors que les embûches ne nous ont même pas disqualifiés (une dizaine d'équipages n'ont pas eu cette chance…)
Le défilé des équipages s'éternise.
Nous rejoindrons l'hôtel vers minuit et déciderons de privilégier notre sommeil en ne rejoignant le bateau qu'après demain matin au lieu de demain vers 19h00 vu le temps de route nécessaire pour rejoindre Tanger.
Le réveil sonnera bien assez tôt.