[4LT09] F4 de l'association 4L et Eux

adrthib
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Mercredi 25 février 2009
La nuit de sommeil a été appréciée et c'est seulement l'hélicoptère de l'organisation qui nous réveille ce matin. Temps radieux sur Merzouga en ce début de journée. Le petit déjeuner et copieux et aujourd'hui particulièrement varié. Nous en profitons largement avant de rejoindre notre voiture et ainsi prendre le départ de l'étape qui nous permettra de rallier Timerzif. Après quelques kilomètres de liaison, nous reprenons la piste sous un soleil écrasant. La piste sablonneuse nous permet de découvrir des sensations de pilotage inédites. Premier arrêt forcé en tout début d'après midi au cÅ“ur d'un long passage de sable mou. C'est ici que la solidarité du 4L Trophy prend tout son sens et avec l'aide de quelques équipages nous sortons notre 4L de cette mauvaise passe puis faisons de même avec quelques autres voitures. Ambiance garantie même si la vitesse moyenne en souffre un peu. Nous avons moins de 150 km à effectuer aujourd'hui mais la piste est technique, le sable omniprésent et l'orientation souvent difficile.
Après le copieux petit déjeuner du matin, nous ne ressentons pas le besoin d'une pause repas et continuons notre route. C'est vers 14 heures que nous découvrons la difficulté incontestable du jour, un long passage de sable de près de 3 kms dans lequel quelques centaines de voitures sont déjà plantées. La scène est irréelle mais avant d'avoir eu le temps de réagir, nous sommes déjà enlisés. Après avoir soigneusement analysé la trace à suivre et reçu le soutien de quelques équipages, Thibaud offre à tous une incroyable démonstration de pilotage. A fond de second puis à fond de première, quelques virages après, nous arrivons sur un passage dur et venons de traverser la première moitié de la difficulté. Après quelques services rendus et quelques vols spectaculaires de plaques de désensablage, nous reprenons notre chemin en espérant que la voiture se porte bien. Le « bac à sable » est derrière nous !
La piste devenant plus roulante, nous prenons de l'assurance et à 70km/h, nous nous faisons quelques belles frayeurs. C'est après avoir heurté violemment un caillou que nous nous arrêtons pour constater que nous venons de torde une jante. Rien de grave heureusement mais nous découvrons en ouvrant le coffre de la voiture que notre chargement a largement bougé lors de nos quelques petits sots. Une de nos bonbonnes de 5L d'eau n'a pas résisté une pause séchage s'impose. C'est l'occasion d'un petit goûter en compagnie de quelques rescapés. La fin de l'étape est un exercice d'orientation assez difficile et en groupe, nous tentons de suivre le cap indiqué sur le Road book et retrouvons non sans difficultés notre point de repère, une antenne. Nous arrivons au bivouac en début de soirée, après une journée sur la piste délicieuse et à 20km/h de moyenne.
Alors que nous étions partis en milieu de peloton, le bivouac que nous découvrons semble bien vide, seulement un tiers des équipages sont arrivés et la majorité travaille à la remise en état de leur voiture. Nous faisons le nécessaire sur notre voiture alors que d'heures en heures, le Briefing est repoussé. Finalement, alors que nous prenons notre repas sous les tentes, Jean-Jacques Rey, le directeur de course intervient pour indiquer que seul une petite moitié des équipages sont rentrés et que certains sont encore immobilisés dans le bac à sable que nous avons quitté vers 15h. L'entrée du bivouac semble désespérément vide et ceux qui sont déjà là font la conversation avec les membres de l'organisation qui ne dormiront pas de la nuit. Tout le monde essaye de se renseigner sur la présence ou non sur le bivouac d'équipages amis. Quelques voitures prennent la destination des villages voisins pour essayer de réaliser des réparations lourdes afin de pouvoir repartir sereinement le lendemain. Au loin, nous distinguons quelques phares, des voitures arriver, par petits groupes.
Finalement, vers 22h30, alors que 500 voitures manquent à l'appel, nous retrouvons notre tente. Pendant toute la nuit, des équipages roderont dans le désert et beaucoup rentreront au beau milieu de la nuit encadrés par les véhicules de l'organisation.

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adrthib
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Message par adrthib »

Jeudi 26 février 2009
Toute la nuit, nous avons entendu des voitures arriver et cela continue encore. Alors que nous quittons la tente pour effectuer un petit tour du bivouac, nous dépassons le stand mécanique où plus de 50 voitures attendent des soins. Nous sommes censés repartir dans moins de deux heures et des voitures semblent mal en point. Nous retrouvons d'abord les deux équipages de Rouen puis les filles de Laon, les garçons de Marles, tout le monde semble bien rentré même si pour certains, la nuit a été très courte. Nous assistons au briefing à l'occasion du petit déjeuner et à la présentation du JT de la veille. Une grande majorité des équipages sont arrivés, c'est l'essentiel. Un deuxième briefing aura lieu un peu plus tard dans la matinée pour les équipages encore endormis.
Nous entrons dans la dernière ligne droite du 4L Trophy 2009, c'est l'étape marathon qui nous attend. Nous avons deux jours en autonomie pour rallier Marrakech depuis Timerzif. Les voitures les plus endommagées ne prendront pas la piste et se contenteront après réparation, de la route. C'est en compagnie de Caroline et Sophie que nous prenons la piste avec pour objectif de rejoindre l'entrée du village de Zagora avant la tombée de la nuit, c'est ici que l'organisation nous recommande de nous arrêter, c'est aussi la fin de la piste.
En ce début de journée, nous commettons notre plus grande erreur de navigation du raid en tournant quelques centaines de mètres trop tôt. Après une petite dizaine de kilomètres, nous décidons de faire demi-tour devant une impasse et retrouvons la bonne trace. Les kilomètres défilent à vive allure sur une piste plus roulante que jamais, les sensations sont au rendez-vous. Le groupe se reforme soixante kilomètres plus tard. Nous roulons tous ensembles, traversons des passages de sable mou où certains laisseront leur ligne d'échappement avec fracas. Après avoir traversé un grand oued sablonneux, nous décidons que chacun roulera à son rythme afin de ne pas perdre trop de temps.
Et notre rythme à nous est bon, nous passons le check-point secret, à quelques kilomètres de la frontière algérienne puis nous traversons d'immenses étendues de cailloux, fier de voir que notre voiture encaisse les chocs sans soucis même si certains sont spectaculaires. Nous ouvrons la piste pour un véhicule de presse de l'organisation ce qui nous vaudra un passage dans le dernier JT. Alors que le soleil se couche, nous approchons de Zagora et faisons un peu de forcing pour atteindre le point de contrôle avant qu'il fasse nuit noire. Devant le point de contrôle, notre voiture refuse de démarrer après un dernier calage en cote. Petite panique mais c'est finalement un mauvais contact qui est à l'origine ce problème électrique.
Paysage désertique et quelques 4L réunies. La scène semble hors du temps. Il fait froid, le vend souffle et nous avons laissé dernière nous les équipages de Laon, Marles et Rouen. Avec du courage et de la persévérance, Thibaud finira par réussir à préparer une bonne soupe après une heure d'attention auprès du réchaud. Le vent souffle fort et nous ne traînons pas. Sous la tente, malgré nos efforts pour dégager le sol, il est difficile de trouver une position confortable.

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Vendredi 27 février 2009
La nuit n'a pas été la meilleure du rallye, le vent a soufflé fort. Il est à peine 7 heures quand nous quittons la tente et déjà de nouveaux équipages pointent au contrôle intermédiaire. Après un petit déjeuner réconfortant à la française avec ce qu'il nous reste dans le coffre, nous prenons la direction de Zagora, à quelques kilomètres de là. Une longue journée de route nous attend pour rejoindre Marrakech, par la montagne et le célèbre col de Tichka. L'équipage 585 est passé il y a une petite demi-heure et nous tentons de le rattraper. La route est toujours très belle et s'améliore au fil des heures. En milieu de matinée, nous retrouvons les filles avec qui nous ferons toute la route.
Les montées s'enchainent, nous passons des sommets enneigés et quelques voitures sont à la peine. Ce décor ocre et blanc est relevé de tâches de couleurs, autant d'équipages qui se disent que la piste est maintenant bien finie. Nous arrivons au sommet du col de Tichka vers midi où nous décidons de nous arrêter pour manger. Quelques boutiques se trouvent là et nous sommes accostés. Difficile de manger dans ses conditions, difficile aussi de décrire ce qui se passe réellement, nous échangeons, discutons et finissons par acheter quelques souvenirs aux locaux. La scène restera mémorable. Après avoir ajouté à la porte fenêtre d'un magasin un autocollant du conseil régional de Picardie, nous partageons rapidement un verre de thé à la menthe avant de se lancer dans la grande et rapide descente vers Marrakech. Les paysages sont là encore grandioses et nous en donnons à cÅ“ur joie au niveau de la conduite.
A quelques kilomètres de la ville la plus célèbre du Maroc, nous sommes attendus par l'organisation pour un dernier relevé kilométrique. Nous avions espérer finir à la place 589 mais l'étape du jour, très longue, nous a largement pénalisé et nous terminerons 624ième. Les indications afin de trouver notre hôtel dans la ville nous sont données après la remise de notre cher road book. Nous ouvrons la route et décidons de chercher dans un premier temps l'hôtel de Caroline et Sophie. Après avoir longuement tourné autour de l'avenue Mohamed 6, après avoir pris plusieurs fois des renseignements auprès des locaux, nous finissons par trouver leur hôtel non sans mal. Impatients nous aussi de passer à la douche, nous traversons la ville dans le sens inverse en espérant retrouver notre hôtel avec moins de difficultés. Et ce n'est pas chose facile car nous passons plusieurs fois devant sans le voir. Il se trouve au-dessus d'un centre commercial ce qui n'est pas commun. La voiture mise à l'abri, un grand rangement effectué, nous découvrons notre chambre. Après une savoureuse toilette, nous retrouvons d'autres équipages pour le dîner puis une nuit de sommeil des plus réparatrices

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adrthib
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Message par adrthib »

Samedi 28 février 2009
Nous avons quartier libre aujourd'hui et comptons bien en profiter. Après une longue nuit de repos et un petit déjeuner royal, nous prenons à pied la direction du centre ville de Marrakech et de son célèbre souk. Après avoir adressé quelques cartes postales à nos proches, envoyé quelques photos depuis un cybercafé à l'Aisne Nouvelle, nous retrouvons des têtes connues sur la place Jama El Fna. Nous visitons ensemble le souk, y effectuons quelques achats et décidons d'y manger. A huit, nous réussissons à remplir un petit restaurant où les plus courageux (ou les plus fous) y découvrirent quelques spécialités. Après ce repas improvisé, nous quittons le groupe afin de partir à la recherche de tissus locaux pour la mamie de Thibaud qui a largement travaillé à notre projet. La mission est difficile car si les magasins sont légions, ils vendent souvent la même chose. Nous nous faisons guider par un jeune homme en dehors des chemins traditionnels et découvrons ainsi un autre visage de la ville. Après avoir visité quelques ateliers, nous finissons par trouver notre bonheur. Ressortir de ce labyrinthe sera difficile et parfois pas très rassurant. D'un pas assuré, nous finirons par retrouver un grand axe et la direction de notre hôtel. Le temps passe vite et nous ne devons pas traîner si nous voulons être à l'heure chez Ali, en fin d'après midi pour la soirée de clôture de la douzième édition du Raid Humanitaire Etudiant 4L Trophy 2009. Après un rapide passage à l'hôtel, nous retrouvons notre voiture qui nous apparaît bien sale mais qui démarre du premier coup et nous conduit à notre destination.
Sur le parking de chez Ali, déjà quelques voitures, pas mal de concurrents dont certains sont venus en taxis et quelques parents venus à la rencontre de leurs enfants. Petit à petit, nous retrouvons tout le monde et entrons alors dans une immense enceinte où ont lieu de grands spectacles. C'est là que nous découvrons notre classement final et constatons d'ailleurs que nous avons une pénalité que nous ne nous expliquons toujours pas. Après une haie d'honneur de l'équipe d'organisation, nous prenons place pour assister à la présentation du JT et à la cérémonie de remise des prix. Devant plus de 2000 personnes, nous découvrons à l'écran notre belle voiture lors de l'étape marathon. Dans la même ambiance que celle qui a animé ces 10 jours de courses, les lauréats sont récompensés dans un spectacle joliment mis en scène. Adrien profite de sa dernière soirée sous une immense tente caïdale. Autour d'une table, tous échangent adresse et numéro de téléphone entre deux bouchées de couscous. Une petite odeur de fin se fait ressentir dans ce décor idyllique. Nous quittons le Maroc demain et la route sera encore très longue. Nous sommes invité à être prudent car c'est traditionnellement le retour qui se trouve être un moment critique de l'aventure. Nous avons le choix entre 3 bateaux qui partiront dans la journée mais avant d'atteindre Tanger, il faut prévoir sept bonnes heures de route. Sachant qu'il sera dans ces conditions difficile de profiter de Marrakech davantage, nous décidons de traverser la méditerranée avec le premier bateau et ainsi arriver au plus vite en France où, ne l'oublions pas, quelques impératifs nous attendent. Nous ne ferons pas la route seuls puisque les deux équipages de Rouen partagent notre point de vue. Nous nous donnons donc rendez vous à la sortie de la ville vers quatre heure du matin le lendemain. La soirée bat son plein chez Ali avec un grand spectacle équestre.
Cette nuit sera à l'image de celles à venir, courte. Nous regagnons notre hôtel pour y reprendre quelques forces.

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Dimanche 1er mars 2009
L'hôtel est particulièrement animé alors qu'il est à peine quatre heures et nous ne sommes pas les seuls à partir. Certains n'ont même pas dormis de la nuit et prennent la route directement après un passage en boite de nuit. Nous retrouvons comme convenu nos quatre camarades de route à la sortie de Marrakech que nous quittons avec regrets. La route est longue et les équipages un peu mélancoliques. Nous sommes toujours à l'affût du moindre bruit suspect et guettons la panne qui serait à cet instant mal venue.
Plus de peur que de mal pour un équipage d'ostéopathe qui se sont renversés avec leur 4x4 dans le bas côté quelque temps après nous avoir doublé. Nous sommes les premiers sur les lieux et nous assurons que les choses sont sous contrôle.
Nous arrivons ainsi en temps utiles à Tanger pour embarquer vers l'Europe après un petit détour dans la ville. Les formalités de douane sont bien plus rapides qu'à l'aller mais nous avons droit cette fois à un contrôle de notre voiture avant notre embarquement. Les douaniers marocains nous font ouvrir le coffre qu'ils examinent en détails. Le bateau est l'occasion d'un petit somme et de quelques grignotages.
A notre arrivée à Algéciras, nous perdons une heure, décalage horaire oblige et il fait déjà nuit. Le temps de faire un plein d'essence et nous perdons les rouennais. Notre prochaine destination est Saumur où les parents de Thibaud nous attendent d'ici vingt-quatre heures. C'est aussi la destination de l'équipage 1049 avec qui nous prévoyons de faire la route. Après quelques centaines de kilomètres et une longue pause pour réparation, ils renonceront à nous suivre en raison d'une avarie mécanique lourde nécessitant l'intervention d'un garagiste. Nous poursuivons donc seuls la remontée de l'Espagne qui semblera interminable. Les relais se multiplieront afin de ne pas s'endormir au volant.

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adrthib
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Message par adrthib »

Lundi 2 mars 2009
La fatigué accumulée depuis deux semaines pèse de tout son poids et nous finissons par nous arrêter sur le bord d'une route au petit matin pour reprendre quelques forces.
Après cette pause nécessaire, le retour du soleil nous aide bien à retrouver de l'énergie et nous filons désormais vers la frontière française. L'immense majorité des voitures doit être derrière nous mais nous croisons ponctuellement quelques équipages que nous klaxonnons largement, l'esprit du 4L Trophy doit survivre.
Sans en comprendre la raison, nous prenons un chemin différent pour le retour mais au moins aussi rapide. Un peu avant midi, nous dépassons la frontière française. Nous n'avons eu l'occasion de vous donner des informations pendant la course mais vous avez été nombreux à nous suivre sur Google Earth et nous recevons les premiers messages de sympathie de nos proches. Nous décidons de longer la côte, de nous arrêter pour manger puis rejoindre tranquillement le centre de la France. Nous atterrissons progressivement après avoir vécu une aventure exceptionnelle. Les regards sympathiques sur la route font plaisir, le prix du plein d'essence un peu moins mais nous sommes juste heureux et fiers d'avoir participé à ce douzième 4L Trophy. La voiture tient toujours bon et c'est l'essentiel. Elle franchit en beauté une côte à plus de 10% à l'entrée de Saumur où nous sommes chaleureusement accueillis par la famille de Thibaud.
Nous entamons un premier récit de nos aventures et préparons déjà notre retour à un quotidien bien plus tranquille. Nous retrouvons notre voiture sur une vidéo proposée par l'armée de terre sur son site internet. Après un bon repas, nous trouvons des lit douillets avant de terminer notre parcours.



Mardi 3 mars 2009
Après une bonne nuit de sommeil, nous sommes en route pour Saint-Quentin où c'est cette fois ci la famille d'Adrien qui nous attend. La route ne réserve aucune surprise particulière. Nous venons de dépasser les 7000 km depuis notre départ. Nous effectuons une petite halte à Melun afin de rendre le boitier de suivi GPS/GSM/IRIDIUM et arrivons à Saint-Quentin en fin d'après midi, fatigués et encore un peu coupés de la réalité.
C'est ici que se termine le Carnet de Bord de l'Association 4L & Eux. Nous avons vécu une aventure extraordinaire et nous vous en remercions. Tous ceux et toutes celles qui ont contribués à la réussite de notre projet et participés au déroulement de cette aventure se reconnaîtront, qu'ils soient chaleureusement remerciés.



C'est la fin de notre récit !!!
FOXx
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Message par FOXx »

vraiment un super récit :wub: :wub: :wub: :wub: :wub:

+++
Kéké
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Message par Kéké »

Génial :wub:

Quand est ce qu'on repart :(

;) Kévin
Kephas
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Ecole/Professions : Master Papaillou
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Message par Kephas »

Quand je pense qu'il y a un moi on y était :'(

Je veux repartir... Me manque qu'une nouvelle trelle^^
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