Nous sommes surpris ce matin car il ne pleut pas !

Mais la température reste fraîche pour ce dernier jour du mois de juillet…
Nous ne quitterons pas la ville sans parcourir le marché et acheter dans quelques commerces choisis soigneusement quelques mets locaux qui font la réputation de la gastronomie et le plaisir des gourmands.

Une dernière échappée touristique nous guide jusqu’à une salle de l’écho, aux propriétés acoustiques surprenantes


Notre première piste engravillonée vers La Chapelle Geneste est roulante à souhait,
Puis après 8 kilomètres de liaison nous abordons cette fois-ci une piste, disons un chemin forestier emprunté récemment par des engins de débardage.

Elles sont d’un tout autre calibre que ce que nous avons vues jusqu’alors…



Alors que la caravane s’est arrêtée pour tâter le terrain à l’annonce de ce que découvre Eric en éclaireur, les équipiers les moins téméraires se postent tranquillement et jaugent la difficulté à pied

Décision est prise de ne laisser qu’Eric « l’éclaireur » et Flavien « le joueur », déguster ce passage sévère,… très sévère,… très, très sévère…















Çà transpire dans la F6 ? Bleues les chocottes ???

Enfin arrivés à l’échappatoire ; c’est par là ! la trace à été contrôlée à pied




Du coup les autres randonneurs font demi-tour, le rendez-vous est donné au bistrot en contrebas !
Même rebrousser chemin nécessite un peu d’entraide, vu la pataugeoire qu’il avait fallu traverser à l’aller et qui se présente au retour

Opération Saint Bernard pour le Patou




Et puis finir par se retrouver comme prévu chez Gaspard, où Mihaël y trouvera à discuter avec un compatriote Bosniaque.

Notre prochaine piste nous amènera jusqu’à la chapelle Sainte Elidie
La piste bien caillouteuse et en descente se termine par un gué, définitivement fougueux à cause de la météo saisonnière…















L’heure du repas est arrivé, alors nous profitons de cette clairière très agréable, avec, ô grand luxe, du soleil pour faire sécher les tentes qui ne l’avaient pas été jusqu’alors.


Le repas est aussi agréable que d’habitude, avec tout de même un petit sentiment de fin de séjour.
Parfum Chocolat ?
Très Chocolat,… hyper Chocolat qui pique le nez ?


… en effet, il fait son effet !

Puis une fois le dessert consommé, nous reprenons la route jalonnée de scieries (on comprend bien pourquoi), en direction de Aubapeyre.
Nous abordons les dernières pages du road-book en direction d’une piste à flanc de vallée qui nous présente au second gué de la journée
Eric tâte le terrain

Puis…
















Cyndie à l’air de ralentir, que se passe-t-il ?

Mince elle à calé, vite à l’eau !


Oui, une pierre sur le chemin à coupé l’élan, mais pas le moteur.
Viiiiite !!!, çà prend l’eau !!!


Episode fini, le convoi continue













Une fois tous passé, on se remet de ses émotions, ou on se remet au sec, c’est selon…

Avec l’éco-cup du Club, s’il vous plaît !




D’autres auront aussi quelques stigmates de l’épisode…

La remontée qui a suivi, outre d’avoir été l’occasion d’un ultime tractage de la voiture rouge par la colorale, va être une belle conclusion au Baroud qui voit encore cet après midi quelques bobos apparaître : Flavien avec un câble cassé de crabotage de pont, Laurent avec un démarreur HS, ou Nicolas qui réalise qu’il jardine un peu trop.



Rien qui empêche de parcourir les 50 kilomètres qui nous ferons rejoindre le gîte hôtelier de ce soir, digne d’un coffret cadeau, avec une prestation raffinée aussi bien dans la qualité des chambres, l’excellence du repas, ou l’atypisme du couchage extérieur : une yourte !




Préemptée de longue date par Pat et Lili, qui auront bien le temps de profiter de la chaleureuse odeur de bouc du logis !
Merci encore Guillaume pour l’organisation de ce Baroud LOZERE 2014

FIN.